Le festival a commencé !
La troupe de l'INS Vicenç Plantada (Mollet del Vallés, Catalogne) a
inauguré le festival avec une petite pièce où la nouvelle chanson de
Sean Paul a été manipulée afin de faire rire le public. Cela a été
une façon magnifique et surprenante d'attirer l'attention du public
car la pièce était muette et finalement les filles jettent un verre
d'eau sur le garçon. La seule fois que les personnages ont parlé, ils
ont dit : BENVINGUTS A BARCELONA !
Après la présentation du festival, les trois organisatrices de l'événement ont aussi donné la bienvenue aux troupes et au public.
La première
pièce representée également par la troupe de Mollet del Vallès était
une série de sketches, c'est pour cela qu'elle a été difficile à
comprendre. Toutefois, le dernier sketch a été le meilleur, le
public a beaucoup ri avec la femme obsédée par les petites cuillères
et par la bonne et son mari trompeur.
La deuxième
pièce, celle de la troupe d'Istambul, a été un succès éclatant,
nous avons pu le constater grâce aux applaudissements du public.
Le public a été plus à l'aise que dans la première parce que les
premiers étaient plus nerveux... Ce n'est pas facile de briser la
glace ! La pièce « Oh, Anabelle » a été très
drôle et en plus les actrices ont très bien chanté ! Sans
doute ces acteurs ressemblent à de vrais professionnels.
La pièce suivante, "Ne tirez pas sur l'ambulance", représentée par la troupe de Belgique, a été une comédie où les personnages étaient un couple qui va se marier mais la fille est enceinte.
Au fur et à mésure que le festival avance les spectateurs vainquent leur timidité et ils demandent des informations par rapport au temps de préparation et s'ils avaient répété tous seuls. Nous avons vu que le jeune public s'approche des acteurs pour commenter leurs expériences.
La pièce suivante, "Ne tirez pas sur l'ambulance", représentée par la troupe de Belgique, a été une comédie où les personnages étaient un couple qui va se marier mais la fille est enceinte.
Au fur et à mésure que le festival avance les spectateurs vainquent leur timidité et ils demandent des informations par rapport au temps de préparation et s'ils avaient répété tous seuls. Nous avons vu que le jeune public s'approche des acteurs pour commenter leurs expériences.
L'après-midi, le groupe du lycée Salvador Espriu (Salt, Catalogne) nous ont présenté une pièce où le personnage principale, un homme riche, ne peut pas payer le mariage de son enfant. La pièce, avec des
éléments comiques (une adaptation de L'Avare de Molière), a fait la surprise que les acteurs ne sont pas sortis tous ensemble, car un groupe a fait son apparition par la porte d'entrée des spectateurs. Le public était, après la pause de déjeuner, enfin
totalement intégré au festival, et la pièce a été bien reçue par le public, aussi bien avec les applaudissements qu'avec
la participation au forum.
Les spectateurs ont été très interessés par le travail des acteurs et la pièce a beaucoup plu ! Les vêtements ont attiré l'attention de tout le monde!! Les élèves d'Agadir (Maroc) avant de commencer la pièce nous ont laissé faire des photos pendant la séance de répétition:
La pièce (une adaptation de poèmes de Prévert) était l'une des plus
poétiques de la journée. Cette troupe a joué aussi avec l'élément de surprise, mais cette fois-ci c'était avec le changement de
registre guidé par le ton très varié des différents poèmes, le
public ne pouvait pas deviner ce qui arriverait dans la
suivante scène.
Et finalement la troupe de Constanta (Roumanie) ont joué une pièce de Ionesco "L'Avenir est dans les oeufs". Il faut remercier au professeur accompagnant qui a été vraiment attentif avec l'equipe de journalistes. La mise en scène a été très délicate et le choix de Ionesco est sans doute audacieux. Bravo aux acteurs et aux professeurs !
Et finalement la troupe de Constanta (Roumanie) ont joué une pièce de Ionesco "L'Avenir est dans les oeufs". Il faut remercier au professeur accompagnant qui a été vraiment attentif avec l'equipe de journalistes. La mise en scène a été très délicate et le choix de Ionesco est sans doute audacieux. Bravo aux acteurs et aux professeurs !
Merci aux journalistes du Moisès Broggi !
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